Cette femme restera pour moi une énigme, celle que l'on rencontre en d'autres temps, en d'autres lieux... celle qui vient sans doute cueillir les fleurs d'écumes après les tempêtes...
Commentaires
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Ladyblogue >
Si tu connais cette femme magnifique en "vrai", surtout ne me dis rien sur elle... je fais ce genre de photo pour laisser ces instants suspendus, pouvoir penser qu'à l'instant du déclenchement je suis une attrapeuse de rêve.
Sinon, il paraît qu'on peut la croiser souvent à cet endroit, du côté du cap...
Melo >
L'apaisement, ça c'est l'effet "doigt de pied à l'air"...
Mais cette femme est d'une sérénité déconcertante, une chose dont je suis certaine, c'est qu'elle ne vit pas à notre époque, c'est pas possible autrement.
Quand je l'ai croisé, je me suis sentie transportée ailleurs, je sais pas trop l'exprimer. Comme si à l'inverse c'était moi qui me retouvait prise dans une image... Et puis cette détachante maturité qui en démontre tout le contraire...
J'imagine qu'elle s'est offert ces fleurs parce que plus personne ne lu en achéte. Elle se pose pour profiter d'elle même et de son regard... C'est joli, c'est simple et touchant.
Elisabeth >
Cette femme est toute de blanc vêtue, les fleurs y compris.
Ceux qui l'on croisé un jour, rapporte également ce détail du "blanc" qui reste troublant...
Merci miss.
ps. "Omo", lave plus blanc que blanc... et une marque de plus pour toi ;)
J'ai marché dans un jardin à la rosée humide. Les fleurs toutes de blanc vêtues se sont penchées vers moi, et leur chant d'effluves m'accompagne sur la route. Je devais aller au marché mais l'envie de voir la mer et d'écouter l'écume s'ébattre sur le sable, m'a fait arrêter mon deux roues encore plus vieux et plus sage que moi. Ses freins sont grippés, alors je ne peux pas aller vite, mais peu importe, le regard des gens est mieux saisissable lentement.
Et puis j'ai pris un bouquet d'algues que j'ai brodé pour les fleurs enserrer.
Je rentrerais apaisée, n'ayant croisé qu'une jeunette brunette sur la plage. Je l'ai laissé voler mon âme, elle est si grande, qu'elle vaut bien un partage.
Tifenn >
Merci mille fois. Ces lignes inspiratrices donnent un sens à ce croisement de vie. Tes mots la suivront ici et sûrement encore ailleurs...
4largo >
Tu as tout fait raison... cette photo a été prise au mois de septembre, ce mois où les grandes marées et tempêtes déversent le plein de souvenirs sur nos plages, enfin reposées du passage des estivants... Mais c'est aussi le mois où il fait encore bon d'y venir flâner et de s'y ressourcer.
Mais je la connais !!!
Rédigé par : Ladyblogue | mercredi 12 déc 2007 à 10:12
Cette photo
m'apaise et
me fascine.
J'AIME BEAUCOUP...
Rédigé par : Melo | mercredi 12 déc 2007 à 12:40
Ladyblogue >
Si tu connais cette femme magnifique en "vrai", surtout ne me dis rien sur elle... je fais ce genre de photo pour laisser ces instants suspendus, pouvoir penser qu'à l'instant du déclenchement je suis une attrapeuse de rêve.
Sinon, il paraît qu'on peut la croiser souvent à cet endroit, du côté du cap...
Melo >
L'apaisement, ça c'est l'effet "doigt de pied à l'air"...
Mais cette femme est d'une sérénité déconcertante, une chose dont je suis certaine, c'est qu'elle ne vit pas à notre époque, c'est pas possible autrement.
Quand je l'ai croisé, je me suis sentie transportée ailleurs, je sais pas trop l'exprimer. Comme si à l'inverse c'était moi qui me retouvait prise dans une image... Et puis cette détachante maturité qui en démontre tout le contraire...
Suis dans le même état que toi... :)
Rédigé par : katy | mercredi 12 déc 2007 à 17:30
J'imagine qu'elle s'est offert ces fleurs parce que plus personne ne lu en achéte. Elle se pose pour profiter d'elle même et de son regard... C'est joli, c'est simple et touchant.
Rédigé par : Elisabeth Robert | mercredi 12 déc 2007 à 21:51
Elisabeth >
Cette femme est toute de blanc vêtue, les fleurs y compris.
Ceux qui l'on croisé un jour, rapporte également ce détail du "blanc" qui reste troublant...
Merci miss.
ps. "Omo", lave plus blanc que blanc... et une marque de plus pour toi ;)
Rédigé par : katy | mercredi 12 déc 2007 à 22:30
J'ai marché dans un jardin à la rosée humide. Les fleurs toutes de blanc vêtues se sont penchées vers moi, et leur chant d'effluves m'accompagne sur la route. Je devais aller au marché mais l'envie de voir la mer et d'écouter l'écume s'ébattre sur le sable, m'a fait arrêter mon deux roues encore plus vieux et plus sage que moi. Ses freins sont grippés, alors je ne peux pas aller vite, mais peu importe, le regard des gens est mieux saisissable lentement.
Et puis j'ai pris un bouquet d'algues que j'ai brodé pour les fleurs enserrer.
Je rentrerais apaisée, n'ayant croisé qu'une jeunette brunette sur la plage. Je l'ai laissé voler mon âme, elle est si grande, qu'elle vaut bien un partage.
Rédigé par : Tifenn | mercredi 12 déc 2007 à 23:02
Si je comprends bien la légende, la photo est récente (tu parles des tempetes) pourtant elle a l'air d'être habillée comme en été... Ca m'interpelle.
Rédigé par : 4largo | mercredi 12 déc 2007 à 23:53
Tifenn >
Merci mille fois. Ces lignes inspiratrices donnent un sens à ce croisement de vie. Tes mots la suivront ici et sûrement encore ailleurs...
4largo >
Tu as tout fait raison... cette photo a été prise au mois de septembre, ce mois où les grandes marées et tempêtes déversent le plein de souvenirs sur nos plages, enfin reposées du passage des estivants... Mais c'est aussi le mois où il fait encore bon d'y venir flâner et de s'y ressourcer.
Rédigé par : katy | jeudi 13 déc 2007 à 20:44
Mais non, c'atait la blague comme dirait Princesse. Mais c'est dingue comme elle ressemble à la tante de mon ex...
Rédigé par : Ladyblogue | vendredi 14 déc 2007 à 09:39
Ladyblogue >
Excellent ! ;)
Rédigé par : katy | samedi 15 déc 2007 à 12:43