Ce sublime film d'animation Tir Nan Og de Fursy Teyssier fait s'envoler le palpitant...
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Ce sublime film d'animation Tir Nan Og de Fursy Teyssier fait s'envoler le palpitant...
mercredi 31 oct 2007 | Lien permanent | Commentaires (9) | TrackBack (0)
J'aime me fondre à l'arrière des voitures pour photographier la nuit. Capturer les signes comme si je capturais les rêves. Ce langage qui peut paraître anodin, insignifiant, inutile... Comme ces signaux que je reçois chaque jour sans savoir comment les décrypter. Etrange & rassurant à la fois.
Au lendemain de cette escapade nocturne, lorsque je retrouve Enzo, il me tend ce dessin. (...)
dimanche 28 oct 2007 | Lien permanent | Commentaires (26) | TrackBack (0)
Franck Juery, photographe indépendant, aime à varier ses techniques de prise de vues en utilisant un matériel différent suivant le sujet, passant du support numérique à l'argentique ou encore par l'instantané. Je suis vraiment sensible à son travail parce qu'il dégage une identité propre, un regard poétique, autant sur un sujet d'urbanisme, de littoral, autour d'une scène intimiste ou pour la couverture d'un livre. Je ressens dans ses clichés la saveur du polaroïd de notre enfance, un peu comme le sentiment de se repasser un films super 8, les bonbons qui sautent dans la bouche en prime, l'oeil encore emplit d'ingénuité... oublier ce que l'on a déjà vu... Un monde parallèle, impalpable, couleur du temps, suspension des sentiments. Coup de coeur pour Franck Juery qui est à découvrir plus encore par ici ...
jeudi 25 oct 2007 | Lien permanent | Commentaires (13) | TrackBack (0)
Puisque c'est mercredi (!) et que le mercredi c'est permis (!) de batifoler dans les parcs et autour des mares, je vous fait partager ce grand "n'importe quoi", petit bonheur d'interview, un condensé de bonne humeur, de rires, de canards et de professionnalisme réalisée par mon président adoré Mandor (un homme en or). Son invité d'honneur et néanmoins ami : Benoît Luciani (un homme de coeur que j'apprécie particulièrement aussi).
Après "Le bruit des hommes" et "Le bar de l'Univers" (il clignote encore dans la colonne de droite parce que je l'ai vraiment Adoré !), Benoît vient de publier son nouveau roman "Mise à Mort" édité chez Hugo Roman... MISEZ SUR LUI ! Sur l'homme, sur le livre, sur ses futures parutions, sur son sourire !!
mercredi 24 oct 2007 | Lien permanent | Commentaires (19) | TrackBack (0)
Je suis frustrée de ne pas pouvoir vous regarder droit dans les yeux. Instinct bridé. Sentiment détourné. Emotion dissimulée. Du coin de l'oeil je vous observe, je tourne, je m'évade, je cille, j'oscille. J'ai un oeil sur vous, tout en dissimulant l'autre. Face cachée. Je voudrais répondre en regard à chaque mot que je lis. Naturellement. Parce que l'expression des mots est difficile parfois, maquillée trop souvent. Le sens et la tournure n'expliquent pas toujours comme il faut. Le regard annonce la couleur. Il donne des lignes sans s'en rendre compte, des réponses, des fragments, en silence. Avec quelques points de suspension, lui aussi, si on y regarde de près... En ce moment même, je vous laisse imaginer le clin d'oeil que fait l'autre pendant que je vous offre celui-ci à pleine ouverture.
dimanche 21 oct 2007 | Lien permanent | Commentaires (25) | TrackBack (0)
Aparté.
Le 27 août j'explosais ma
Rage-libre ici au bord de la mare...
Mots et maux sur lesquels j'avais eu beaucoup de retours, si chauds, si remuants, si touchants, merci encore...
Aujourd'hui "l'homme mis en cause" est venu boire mes larmes au bord des mots et m'en a laissé trace dans les commentaires du billet en question...
"...je découvre ce site depuis peu, et je dois te Féliciter, il est superbe, vraiment, bravo pour le travail. Ceci dit, j'aurai voulu te lire bien avant, dommage que tu ne m'en ai jamais parlé, mais du haut du château il n'est pas facile de communiquer, donc je m'octroie un droit de réponse sur ta rage, de façon un peu tardive, certes, mais un droit quand même.
Ce droit de réponse je le fais à katy et non pas à la grenouille donc je ne le développerais pas ici à la vue de tous, mais plutôt d'une manière qui me correspond beaucoup plus... alors grenouille si tu vois cette brune au cheveux long avec de grandes écharpes les manches usées et un carton à dessin sous le bras, dis lui que cette fille là me manque, que je ne lui cherche point querelle, mon épée est rangée dans son fourreau, est même dans son rocher. Quand à toi grenouille je te souhaite que du bien pour la suite...
Bien sûr, les commentaires m'ont touché... (...). Voilà c'était mon unique droit de réponse, tel quel, certainement ponctué de fautes de syntaxes et d'orthographes mais j'en suis fier car, ce sont les plus belles, celles de l'émotion....."
Alors à "toi" qui découvre ce nouvel univers dans lequel je sautille depuis plusieurs mois déjà sans que tu le saches, je reste surprise ce soir devant tes mots, émue aussi, les dernières larmes sûrement pour ce billet... Sache aussi que tu es le bienvenu, comme lorsque je t'accueille chez moi (en non virtuel) la porte et le dialogue ouvert. Les rages comme celles-ci sont rares mais affûtées, il en reste néanmoins entre-nous toujours beaucoup d'affection. Je comprends maintenant mon étonnement quand aux fleurs reçues tout à l'heure et t'en remercie, moi qui pensais que tu allais enfin m'annoncer tes prochaines épousailles... (sourire). Attention mâle, prends garde, tu as beau être plongeur émérite, ici, c'est moi qui mène la mare, je pourrais bien réussir à t'y noyer !...
jeudi 18 oct 2007 | Lien permanent | Commentaires (17) | TrackBack (0)
Lorsque tu ouvres ta boîte mail en arrivant de bon matin au boulot (en ayant eu de bien bonnes nouvelles aussi chez toi juste avant) et que tu t'aperçois que le compteur des réceptions et des indésirables ne cesse de croître jusqu'à atteindre plus de 720 chacun au compteur et que rien ne peux l'arrêter, même en tapant comme une cinglée de batracienne sur "supprimer", voir même sur toutes les touches en même temps (image immortalisée par cette copie d'écran, acte fortement encouragé par mes collègues grands yeux ouverts derrière moi qui ont encore été les pauvres témoins de mes phénomènes inexpliqués)... ben, là, tu te dis que ça va être une journée spasmodique (!), incontrôlable, voir même vérolée tout court...
Et ça, c'était pas complètement faux...
mercredi 17 oct 2007 | Lien permanent | Commentaires (9) | TrackBack (0)
Cette illustration, je l'aime. Ses couleurs, ses textures, son imaginaire. Si j'avais à illustrer les couleur de mon univers, ce serait certainement par celles-ci. Parfois je suis tellement emballée par certaines images que j'aimerais les manger. Elles racontent de bien belles histoires sur le papier, mais tout -conte fée- je suis toujours tentée d'en imaginer d'autres. Peut-être parce que je n'aime pas savoir où les chemins me mènent avant de les avoir emprunté. La balade de la surprise, de la peur, de l'inconnu. Je suis comme ce petit bout d'homme perdu au milieu de nul part. Je sème à tout va sous fond d'adrénaline tout en pensant prévenir des dangers. Mais la vérité, c'est que je ne sais pas où je vais. Mes craintes sont planquées, là, au fond du bois, pas qu'imaginaires. Alors, je ne me retourne pas, trop peur de me rendre compte qu'un animal guette mes pas et me les mange un par un, tout prêt à dévorer ma cervelle de demoiselle, laissant derrière lui les tiroirs béants. Regard droit devant, boussole à l'ouest, je trace mon chemin, bon gré mal gré, au fur et à mesure que les lunes passent. A tort ou à raison, dans la lumière ou la pénombre... Combien de pages encore à tourner pour me rendre compte que la vie n'est pas un conte...?
vendredi 12 oct 2007 | Lien permanent | Commentaires (12) | TrackBack (0)
Viens, regarde-moi et déroule ta bobine que j'exhausse ta prière, repasse-toi le film, encore, encore, en coeur, en boucle, reviens investir mon espace. De pièce en pièce, je fixe ton histoire, tes gestes, tes angoisses, tes regards, là, seul et avec moi suivre la flêche pourpre... vois-tu comme elle est spirituelle, insaisissable et incessante ? Donne et je déclenche ! Une seconde puis une autre, en boucle, double ta personnalité, les aiguilles du temps figent le glas à l'instant. L'image te sonne, résonne, transperce, me comble... Ce que j'aime par dessus tout c'est de pouvoir t'entendre penser lorsque tu fermes les yeux...
mardi 09 oct 2007 | Lien permanent | Commentaires (14) | TrackBack (0)
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