Humour décapant et magnifiquement décalé, "Les Shadoks", ventres ronds et longues papattes, sont nés en 1968. Vérité par l'absurde en séries de 2 minutes par jour, cette série animée télévisée, loufoque et décalée, a conquis des générations de téléspectateurs. Péripéties accompagnées des délicieux commentaires de Claude Piéplu et des rythmes tout aussi bien appropriés du musicien Robert Cohen-Solal. Si Jacques Rouxel, leur père, s'est éteint en 2004, "Les Shadoks" restent encore bien vivants dans nos petites têtes d'enfants. Petit rafraîchissement donc en ce gris mercredi.. j'avoue que j'avais oublié certaines choses (en même temps je ne suis qu'une grenouille !)... Pour ceux qui sont au boulot (!), regardez ces 5 premières séries exclusivement à la pause-café ou au déjeuner, va falloir prendre le temps de tout regarder !...
Trois devises Shadoks, (clin d'oeil à Denis en passant) : « C'est en forgeant que l'on devient musicien » ; « Le plus long chemin d'un point à un autre est la ligne droite » ; « Quand on ne sait pas où on va, il faut y aller... et le plus vite possible ! ».
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