Bouille de grenouille

...à boire !

Rendez-vous chez Nina la louVe pour y boire.. du mot, de l'authentique, pas de la piquette de basket !!! Ouhhhh ouiiii LA looouuuuvvveee se prête au défi lancé ici du haut de ma tite bretagne !
Pour cette première étape, elle me fait languir par ces photos mais assouvit ôhhhh combien déjà toutes mes attentes par ce message !... Grand merci grande dame !! Restera le grand plongeons de SYRENN pour le grand voyage ! Plongez dans cette bouteille à l'âme des chaleureux espagnols... vous y attend du gouleyant, de l'arôme fin Québécois qui révéle la belle personnalité ensoleillée, amoureuse et joueuse de cette opiniâtre louVeeeee ! A vos verres pour elle ! Yec’hed mat !!

...tête au carré !

 
Cette vidéo "Piece of Mind" réalisée par "Vancouver Film School" me parle !! Evidemment, qui ne connaît pas ce mémorable (!) « RubixCube » casse-bonbon casse-tête sur lequel nous avons pour certain, passé des heures entières à se vider les méninges ?

Je trouve que cette vidéo est techniquement très bien réalisée, mais surtout qu'elle colle étrangement et parfaitement à mes anecdotes du moment. L'impression d'avoir en permanence le crane en ébullition, de réceptionner des ondes étranges, de me traîner un fil électrique à la patte... comment ce fait-il que très souvent, j'arrive à allumer le seul truc qui n'est pas branché, ou à l'inverse j'éteins tout ce qui est pourtant bien connecté !!! pfffffffffgrrrr.......... rhooo électricité sort de mon corps !!

Sinon, juste, si par un électrique hasard, je venais à croiser ce "monsieur rubixcute", grand chance que je m'arrête sur son chemin, et ça risque fort de faire quelques étincelles.. wooouuuu... (quoi je disjoncte !!??? j'ai droit ! siiiiiifdjdkfgeuifeoifedhgfdjfolle !...)
Allez, ressortez donc votre remue-méninge, multicolore (moi je vais éviter, faudrait mieux) et surtout... restons connectés... bidibip...bipbip... bip..

...grenouille)(taureau

160 x 50 cm. 
Me mesurer à ma petite hauteur.
Reprendre les pinceaux.
Rester accrocher aux cornes du taureau.
"Hurt, myself again today"
...

...Nina à la pâte filo !

Nina Louve me laisse ce fameux message :
“T'en connais toi des clips ou des caricatures qui font l'éloge du l'A quié bô ?
Bin Oui, t'sais, c't'affaire là dont tout le monde cause ce l'A l'A l'A mourrrr. Hein ?...
Mais attention, pas de la fleur felure bleue cul-cul niaise. Du stock fougue, original...”

Bon alors, pas de chance dans les clips j'ai trouvé beaucoup de misère visuelle, en suis encore pas remise (et puis surtout me reste encore en tête l'incontournable clip de Magwann tout spécialement commandé par toi ! Dur de trouver mieux !!)...
Trépidante Louve, voici donc quand même un rescapé, venu tout droit de ton beau pays du Québec, ce clip qui ne manque pas d'originalité, tant musical, textuel que graphique, avec du battement de coeur dans le poitrail, de la fleur aussi mais pas duculculapral', avec du vivant dedans, du iodé, du crustacé et même que je me suis glissée à l'intérieur et que j'ai trouvé de quoi draguouiller du sautillant 2 minutes !! Succulent crapeau... j'm'en vais l'cuisiner pour le dessert avec d'la pâte Filo... mmmmiam...

 
Voici, Nina, pour tremper avec le croustillant, les paroles de "Pâte Filo" du groupe Malajube qui font preuvent d’une belle sensualité et d’une irrésistible fantaisie  :

“Pour contrôler mon impudicité
J’ai couvert mon coeur d’une pâte filo
Qui me protège de toi et de ta libido

Pour contrôler ma mouillabilité
J’ai appliqué la nitro sur la pâte filo
Et je m’incline devant toi et ta libido

Pour contrôler ma sensibilité
J’ai couvert mon coeur d’une pâte filo
Qui me protège de toi et de ta libido

Pour contrôler ma sexualité
J’ai appliqué la nitro sur la pâte filo
Et je m’incline devant toi et ta libido”

Malajube, c’est la curieuse contraction de “maladie” (le groupe est une jolie somme d’hypocondriaques) et de “jujube”, le nom au Québec d’un petit bonbon parfumé aux fruits... donc Nina je te l'emballe (le bonbon hein, pas le malade.. !) et te le fais entrer dans la bouteille de cidre (vide, hein, sinon va pôas flôatter la pôv') et je te la jette à la mer... !

A ce propos, la bretonne te défie !!!! ôh, toi la reine du challenge anti-spleen, niarkniark ! J'voudrais que tu me fasses un message... oui, le genre de message que tu écrirais sur papier, que tu glisserais dans une bouteille... pas plus de 12 lignes comme le croustillant texte du-dessus... et j'voudrais qu'ensuite tu la lances pour de vrai à la mer et que tu me prennes en photo ce grand moment !!...........mm.. ha !

...mare-mots !

Sortez les épuisettes, c'est grande marée,
on va se marrer !!
Nous avons tous repêché de la bouche des marmots de jolis petits mots rigolos...
Voici le moment de collecter et de faire nager ensemble ici ces "Mots De Rire", ces "Mare-Mots" ! J'organise donc une pêche à la "ligne" pour nous les grands, oui, aujourd'hui c'est permis !
Nos têtards "têtes de l'art" ne manquent pas d'imagination, d'inspiration, de fraîcheur et de vérités, je vous invite donc à venir garnir et faire vivre tous vos "trésors" et "pêches miraculeuses" dans ma mare.

Pour l'ouverture de la pêche, je vous raconte la dernière en date chez moi :
Enzo, 4 ans 1/2 :
Faisait trop chaud dans la voiture.... mon bonhomme me dit avec une intonation d'un gars de 15 ans : "M'man, tu peux baisser le chauffage ?...
Fait un chaud d'canard par ici !"... (!)

Je laisse un bandeau dans la colonne de droite pour que vous puissiez venir remplir le plateau de fruit de mer au fur et à mesure des arrivages de frais ! Possible qu'un jour, on puisse déguster ensemble un top ten des pêches les plus appétissantes, vin blanc et mayo offerts par la maison... mm !

...maquille-moi ! (4)

The story of impossible

..."Nous avions cette histoire de l’impossible
Un conte à raconter doucement
Totalement inventé
Peut-être impossible à accomplir
Et pourtant très proche

Qui domine la faim des lions dans leur cage,
Avec la confiance d’un clown ?
Le petit homme qui grimpe sur la scène
Comme s’il tombait sans filet de sûreté

Nous avions cette histoire de l’impossible
Un conte à raconter tout bas
Totalement inventé
Peut-être impossible à accomplir
Et pourtant très proche"...

...

...ah, l'amour !..?

Attention âmes sensibles s'abstenir !
Je vous rassure tout de suite, ce n'est pas mon humeur décalée du jour !
MAIS, quand même, ne me dites pas que c'est ça l'amouuurrrrrrgrrrrrr !!!???
Les femelles femmes sont-elles si sauvages, cruelles, vilaines, bestiales, cannibales et VENALES !?? pfff.... bon cela dit ce petit film m'arrache quelques sourires crispés faut bien le dire ! Bien contente de ne pas m'appeler Jan, Wanda, Jill ou encore Betty... et moi je veux bien rencontrer le monsieur sourire sans "la dent en or qui brille"... (bon faut pas non plus qu'il soit lourdingue, hein... genre le type qui m'accoste à la sortie du bureau de vote ! Lui manque les mains à celui-ci maintenant, arghhh)... Allons, tsss restons "peace & love"...

...vague de courbes !

Il me semblait naturel de présenter ici les photographies de Jean-Philippe. D’une part parce que cet homme a des qualités humaines que j'apprécie vraiment, une personnalité rare, et une approche artistique très enrichissante. Un homme qui porte les gens vers le haut, un don évident pour le partage, un humour, une curiosité et une bonne humeur à toute épreuve !! Nous travaillons ensemble quotidiennement depuis plus de 5 ans et je ne m’en lasse pas… (comment ça, chef, je suis virée si je dis le contraire ?!!…).
Jean-Phi, amateur de photographie, tout juste 40 ans, voit en noir et blanc et se passionne pour les clichés de mode, le nu, le portrait. Ses inspirations viennent d’Ellen Von Unwerth «pour ses références à l'univers créatif des années 30», d'Andreas Bitesnich, de Peter Lindbergh, de Sarah Moon et plus particulièrement d’Helmut Newton pour, dit-il, «son côté provoquant, décalé, la réalité crue de ses images, leurs puissances et son amour du corps féminin».

Nous ressentons dans le travail de Jean-Phi sa passion pour les femmes, leurs lignes, leurs courbes, il aime l’échange et la confiance qui s’établie avec ses modèles lors de ces prises de vues. Le choix de la lumière naturelle s’impose à lui, il dit d’ailleurs en se marrant «c'est surtout parce que je ne sais pas faire autrement !»… mais apprécie d’autant plus à rechercher des endroits appropriés, décalés. Il est difficile dit-il de «créer son propre univers ou d'oser réaliser les images que l'on a en tête et de représenter le monde du fantasme aussi bien que Newton. Aujourd'hui j'aimerais photographier des femmes qui ont une "gueule", des formes généreuses ou plantureuses, celles qui ne laissent pas indifférentes, qui dégagent une force».

Ici, le regard de l'artiste prime !! Tellement de personnes passent devant en pinçant la bouche ou en ouvrant un oeil «premier degré !» et montre combien il est encore difficile d’imposer son sens artistique… Je suis ravie pour ma part de lui faire une place d’invité dans la colonne de droite (pas encore de portfolio…) où vous pourrez découvrir d'autres clichés. Cet homme a des idées «bouillonnantes» et d'autres photos bien plus "décalées", plus "crues", que je garde en réserve… à suivre…

...Guernica

Désolée mais aujourd'hui dans “mercredi c'est permis”
c'est plutôt mercredi "c'est pas permis" !
Le 26 avril 1937, des bombardiers nazis appelés par Franco détruisait la petite ville basque de Guernica. Le bombardement avait duré 4 heures anéantissant impitoyablement la ville et ses alentours dans un rayon de 10 kilomètres.
L’École de cinéma de Vancouver au Canada rend ici hommage, à la toile de Pablo Picasso "Guernica". Cette toile de 8 mètres de long et 3,50 m de large fut réalisé par Picasso suite à ce massacre, et sur laquelle il jetta toute sa colère et son indignation.
Sur cette animation de Marcelo Oritz, ce personnage de Picasso reprend vie et parcours "La chambre de Van Gogh à Arles", "La persistance de la mémoire" de Salvador Dali ou encore la "Relativité" de M.C. Escher.

...maquille-moi ! (3)

Pour ce troisième volet de la série "maquille-moi", voici un cliché noir et blanc, un traité que j'affectionne particulièrement pour avoir pris plaisir à me plonger en chambre noire pendant de nombreux jours et parfois des nuits entières... Enfermer dans cette pénombre rouge, je rêvais, je comptais le temps qui passait, je l'oubliais, je le fixais, je le ratais aussi... j'attendais de la révélation, du spectacle, de l'inattendu, je faisais la chasse à la poussière (!), je me trompais dans les mélanges bien souvent ! C'était un peu comme quand on reçoit sa première boîte de magie, il s'en révélait parfois quelques sortilèges, du florilège mais parfois non ! Je faisais confiance à l'aléatoire, au périmé, au flou, au net... Trace d'instantané que l'on ne pourra jamais rendre ni à son temps, ni à son lieu, une sorte de tatouage qu'on aurait le pouvoir d'effacer.